Intervention gouvernementale pour réformer la finance et l’économie, développement des usages et réseaux mobiles, positions dominantes de certains acteurs… comprendre l’extraordinaire succès des fintechs chinoises, c’est s’affranchir de toute comparaison occidentale.
Homme de lettres, Arnaud Chneiweiss troque volontiers sa casquette de délégué général de la FFA avec celle d’auteur de thriller. Un exercice qui lui permet de sortir des cadres, et d’alerter sur les excès d’une société parfois trop prudente.
Risques de conflits, mouvements sociaux, régimes politiques, niveaux de sécurité, liberté d’expression, corruption, moyens de communication, développement culturel… le risque politique est un concept aux données multiples, destiné à enrichir la connaissance des pays et de leur stabilité. Parmi les indicateurs de fragilité, l’inflation et les périodes électorales.
Jusqu’alors assez discret, Jacques Aschenbroich, PDG de Valeo, enchaîne depuis quelques mois les interventions dans les médias et accumule les récompenses : 4e du classement international du Harvard Business Review, stratège de l’année selon Les Échos, BFM Awards de la stratégie digitale… La raison d’un tel succès ? À la tête de Valeo, il a su saisir les opportunités des révolutions
technologiques et sociétales à l’oeuvre dans le secteur des transports et transformer totalement les habitudes. Son levier : l’innovation.
Si l’assurance-vie reste une référence dans la gestion de l’argent des Français, ses avantages se réduisent au fil des mesures fiscales au point d’interroger sur son intérêt et sa vocation. Faut-il repenser l’assurance-vie ?